Bienvenue sur mon blog : Un voyage au cœur du numérique et de la pédagogie
Salut à tous et bienvenue sur mon blog ! Ici, on va plonger ensemble dans l’univers captivant du numérique et de la pédagogie. Pour ce premier post, j’ai envie de vous raconter mon histoire, un parcours riche en découvertes et en rebondissements. Et pour que ça soit plus fun, j’ai demandé à ChatGPT de me poser quelques questions, histoire de rendre le tout plus interactif. Alors, c’est parti pour une petite interview !
Pour commencer, peux-tu nous parler de ce qui t’a conduit à choisir une formation en développement ?
Bizarrement, durant mon enfance, je n’étais pas spécialement attiré par le domaine informatique. Je jouais bien aux jeux vidéos, mais l’informatique ne s’était pas encore aussi bien démocratisée et était souvent très chère. Arrivé à l’adolescence, mes parents ont reçu une vieille bécane qui servait principalement pour le traitement de texte. J’ai commencé à pas mal fouiller dedans pour comprendre comment ça fonctionnait. À l’inverse de ma bonne vieille Playstation, j’avais la possibilité d’aller mettre les mains dans le cambouis. Je pense que c’est là que j’ai chopé le virus.
Après cette découverte initiale, comment as-tu décidé de poursuivre cette voie et quelles ont été les étapes marquantes de ta formation en développement ?
J’ai commencé la partie développement au collège il me semble, je devais avoir 12 ou 13 ans quand j’ai écrit mon premier printf. Je ne saurais plus dire comment, mais j’ai atterri sur le Site du Zéro (ce qui est devenu OpenClassrooms par la suite). J’ai l’impression que ma génération de développeurs est forcément passée par là. Arrivé au lycée, je me suis dirigé vers des filières techniques (mécanique, électronique, sciences physiques) en espérant pouvoir trouver sur mon chemin quelques bouts d’algorithme, mais ce n’était pas encore vraiment enseigné au lycée à cette époque. Je continuais en parallèle à travers des bouquins ou des forums à parfaire mes connaissances. J’ai même commencé le web à cette époque.
Je suis ensuite allé passer un Titre Professionnel Développeur d’Application. Autant la première année a été une redite pour moi, autant j’ai pu découvrir le monde du Java en deuxième année. Une révélation pour moi. La programmation orientée objet avec des typages forts était vraiment ce qui me correspondait. Ça semble être toujours le cas aujourd’hui d’ailleurs. J’ai poursuivi ensuite sur une Licence que j’ai pu faire en alternance afin de voir ce qu’était le monde des devs pros.
Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir formateur et comment s’est déroulée cette transition ?
Je ne suis pas devenu formateur tout de suite après mes études. J’ai d’abord fait mes armes en tant qu’ingénieur logiciel chez Capgemini. J’ai travaillé principalement dans la partie banques, finances et assurances. J’ai bossé sur plusieurs projets d’importance variée mais toujours aussi intéressants dans des technos assez variées : Java, C#, NodeJS, Angular…
Malgré tout, je savais que ce genre de poste, malgré l’intérêt technique qu’il pouvait susciter, ne me correspondait pas totalement. La pédagogie, pour certaines personnes, est quelque chose de très intuitif. Trouver la bonne analogie, mettre en place un cheminement logique pour expliquer quelque chose, ça me semblait clairement être le genre de choses qui me plaisaient. Par un heureux hasard, un proche de l’époque, toujours en études, m’a indiqué qu’un poste de formateur en informatique était disponible dans son école. Malgré ma jeune expérience, j’ai décidé de proposer mes services, qui ont été accueillis avec beaucoup d’enthousiasme.
Peux-tu nous en dire plus sur ton expérience en tant que formateur ? Quelles ont été les plus grandes satisfactions et les plus grands défis que tu as rencontrés dans ce rôle ?
Mes expériences de formateur sont mes meilleurs souvenirs professionnels. J’ai commencé par travailler dans le domaine de la formation diplômante en alternance auprès de BTS Services Informatiques aux Organisations et BTS Systèmes Numériques. Des cours techniques auprès de très jeunes professionnels qui, pour la plupart, vivaient leur première expérience en entreprise, c’était extrêmement gratifiant. Toutefois, durant cette période, le COVID-19 est arrivé. Un réel défi pour un centre de formation qui ne pratiquait que très peu la formation à distance. J’ai toutefois relevé ce défi en mettant en place un maximum de choses en un temps très court. C’est d’ailleurs cette période qui m’a convaincu que le full remote était une condition de travail qui fonctionne pour moi.
C’est aussi durant cette période que j’ai commencé à devoir organiser des équipes pédagogiques pour les sections de BTS informatique du centre. Par la suite, convaincu par mon expérience en full remote, j’ai intégré les équipes de l’école O’Clock, qui propose des parcours de formation à destination de personnes en reconversion professionnelle, et le tout en full remote. L’un, si ce n’est le meilleur choix que j’ai fait. L’expérience de formation y est vraiment bienveillante, toujours dans la bonne humeur et les contenus sont mis à jour constamment. Les apprenants ont une motivation mise à rude épreuve. Et pourtant, ils se donnent à fond et c’est vraiment inspirant.
Peux-tu nous expliquer ce que ton rôle de responsable de formation implique et comment tu y mets à profit ton expérience passée pour innover et améliorer les programmes éducatifs ?
Mon rôle de responsable de formation me conduit à un grand nombre de tâches. En réalité, l’idée est de piloter l’ensemble de la mise en œuvre des formations. Donner le cap sur la planification, trouver les bonnes ressources au bon moment, suivre et améliorer nos processus ou encore s’assurer du bon déroulement des formations. C’est une position qui me permet d’utiliser tout ce que j’ai appris comme formateur et développeur pour créer des programmes qui non seulement forment des professionnels compétents, mais aussi des individus capables de s’adapter aux évolutions rapides du secteur numérique.
Quelle est ta vision pour l’avenir de l’éducation numérique ? Comment souhaites-tu impacter ce domaine et quelles innovations espères-tu voir se réaliser ?
Ma vision concernant le domaine de la formation se fait sur trois axes :
- Faire évoluer le niveau de certification des formations disponibles pour la reconversion professionnelle : Le domaine du numérique manque aujourd’hui encore de beaucoup de profils, et même si on cherchera toujours des développeurs pour réaliser les applicatifs, l’offre semble s’orienter vers des besoins plus spécifiques et plus qualifiés. C’est pourquoi je souhaite faire évoluer le niveau de certification des apprenants en reconversion.
- Apprendre à apprendre : Les métiers du numérique évoluent bien trop vite pour espérer se contenter des technologies vues en formation. La veille technique, informationnelle et réglementaire sont des points à ne pas négliger dans une carrière dans le domaine du numérique.
- Maintenir le niveau technique des formations : Trop de formations se bornent techniquement. Au même titre qu’un salarié du domaine numérique doit se maintenir en veille, les organismes de formation ont le devoir d’organiser l’amélioration continue des contenus afin d’avoir toujours les bonnes informations à communiquer pendant les parcours de formation.
Merci d’avoir pris le temps de lire cet entretien ! J’espère que vous avez apprécié découvrir mon parcours autant que j’ai aimé le partager. Restez connectés pour plus de contenu sur le numérique et la pédagogie. À bientôt sur le blog !
Après cette découverte initiale, comment as-tu décidé de poursuivre cette voie et quelles ont été les étapes marquantes de ta formation en développement ?
J’ai commencé la partie développement au collège il me semble, je devais avoir 12 ou 13 ans quand j’ai écrit mon premier printf. Je ne saurais plus dire comment, mais j’ai atterri sur le Site du Zero (ce qui est devenu OpenClassrooms par la suite). J’ai l’impression que ma génération de développeurs est forcément passée par là. Arrivé au lycée, je me suis dirigé vers des filières techniques (mécanique, électronique, science physique) en espérant pouvoir trouver sur mon chemin quelques bouts d’algorithme, mais ce n’était pas encore vraiment enseigné au lycée à cette époque. Je continuais en parallèle à travers des bouquins ou des forums à parfaire mes connaissances. J’ai même commencé le web à cette époque.
Je suis ensuite allé passer un Titre Professionnel Développeur d’Application. Autant la première année a été une redite pour moi, autant j’ai pu découvrir le monde du Java en deuxième année. Une révélation pour moi. La programmation orientée objet avec des typages forts était vraiment ce qui me correspondait. Ça semble être toujours le cas aujourd’hui d’ailleurs. J’ai poursuivi ensuite sur une Licence que j’ai pu faire en alternance afin de voir ce qu’était le monde des devs pros.
Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir formateur et comment s’est déroulée cette transition ?
Je ne suis pas devenu formateur tout de suite après mes études. J’ai d’abord fait mes armes en tant qu’ingénieur logiciel chez Capgemini. J’ai travaillé principalement dans la partie banques, finances et assurances. J’ai travaillé sur plusieurs projets d’importance variée mais toujours aussi intéressants dans des technos assez variées : Java, C#, NodeJS, Angular…
Malgré tout, je savais que ce genre de poste, malgré l’intérêt technique qu’il pouvait susciter, ne me correspondait pas totalement. La pédagogie, pour certaines personnes, est quelque chose de très intuitif. Trouver la bonne analogie, mettre en place un cheminement logique pour expliquer quelque chose, ça me semblait clairement être le genre de choses qui me plaisaient. Par un heureux hasard, un proche de l’époque, toujours en études, m’a indiqué qu’un poste de formateur en informatique était disponible dans son école. Malgré ma jeune expérience, j’ai décidé de proposer mes services, qui ont été accueillis avec beaucoup d’enthousiasme.
Peux-tu nous en dire plus sur ton expérience en tant que formateur ? Quelles ont été les plus grandes satisfactions et les plus grands défis que tu as rencontrés dans ce rôle ?
Mes expériences de formateur sont mes meilleurs souvenirs professionnels. J’ai commencé par travailler dans le domaine de la formation diplômante en alternance auprès de BTS Services Informatiques aux Organisations et BTS Systèmes Numériques. Des cours techniques auprès de très jeunes professionnels qui, pour la plupart, vivaient leur première expérience en entreprise, c’était extrêmement gratifiant. Toutefois, durant cette période, le COVID-19 est arrivé. Un réel défi pour un centre de formation qui ne pratiquait que très peu la formation à distance. J’ai toutefois relevé ce défi en mettant en place un maximum de choses en un temps très court. C’est d’ailleurs cette période qui m’a convaincu que le full remote était une condition de travail qui fonctionne pour moi.
C’est aussi durant cette période que j’ai commencé à devoir organiser des équipes pédagogiques pour les sections de BTS informatique du centre. Par la suite, convaincu par mon expérience en full remote, j’ai intégré les équipes de l’école O’Clock, qui propose des parcours de formation à destination de personnes en reconversion professionnelle, et le tout en full remote. L’un, si ce n’est le meilleur choix que j’ai fait. L’expérience de formation y est vraiment bienveillante, toujours dans la bonne humeur et les contenus sont mis à jour constamment. Les apprenants ont une motivation mise à rude épreuve. Et pourtant, ils se donnent à fond et c’est vraiment inspirant.
Peux-tu nous expliquer ce que ton rôle de responsable de formation implique et comment tu y mets à profit ton expérience passée pour innover et améliorer les programmes éducatifs ?
Mon rôle de responsable de formation me conduit à un grand nombre de tâches. En réalité, l’idée est de piloter l’ensemble de la mise en œuvre des formations. Donner le cap sur la planification, trouver les bonnes ressources au bon moment, suivre et améliorer nos processus ou encore s’assurer du bon déroulement des formations. C’est une position qui me permet d’utiliser tout ce que j’ai appris comme formateur et développeur pour créer des programmes qui non seulement forment des professionnels compétents, mais aussi des individus capables de s’adapter aux évolutions rapides du secteur numérique.
Quelle est ta vision pour l’avenir de l’éducation numérique ? Comment souhaites-tu impacter ce domaine et quelles innovations espères-tu voir se réaliser ?
Ma vision concernant le domaine de la formation se fait sur trois axes :
- Faire évoluer le niveau de certification des formations disponibles pour la reconversion professionnelle : Le domaine du numérique manque aujourd’hui encore de beaucoup de profils, et même si on cherchera toujours des développeurs pour réaliser les applicatifs, l’offre semble s’orienter vers des besoins plus spécifiques et plus qualifiés. C’est pourquoi je souhaite faire évoluer le niveau de certification des apprenants en reconversion.
- Apprendre à apprendre : Les métiers du numérique évoluent bien trop vite pour espérer se contenter des technologies vues en formation. La veille technique, informationnelle et réglementaire sont des points à ne pas négliger dans une carrière dans le domaine du numérique.
- Maintenir le niveau technique des formations : Trop de formations se bornent techniquement. Au même titre qu’un salarié du domaine numérique doit se maintenir en veille, les organismes de formation ont le devoir d’organiser l’amélioration continue des contenus afin d’avoir toujours les bonnes informations à communiquer pendant les parcours de formation.
Merci d’avoir pris le temps de lire cet entretien ! J’espère que vous avez apprécié découvrir mon parcours autant que j’ai aimé le partager. Restez connectés pour plus de contenu sur le numérique et la pédagogie. À bientôt sur le blog !